Château du Plessis-lès-Tours

Localisation :

La Riche, le Plessis

Dates :

v.1478-1480

État du batiment :

Partiellement conservé

Veüe du chasteau du Plessis lez Tours, dessiné du dedans de la court, Louis Boudan, 1699, aquarelle, 33,4 x 29 cm, Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, collection Gaignières, 5294.
Crédits : Source gallica.bnf.fr / BnF

Avant d’être la résidence principale des souverains à Tours, le château du Plessis était connu sous le nom de Montils-lès-Tours. Il s’agissait alors d’un petit château seigneurial appartenant à Hardouin de Maillé. Charles VII, lorsqu’il était de passage à Tours, y séjournait. Lui qui détestait la ville, préférait la tranquillité de ce domaine légèrement excentré de la cité. Bien que n’étant pas propriétaire des lieux, Charles VII fit apporter des modifications aux lieux [Chevalier, 1983, p. 144]. Mais c’est son fils Louis XI qui en fit véritablement une résidence royale. Le roi était très attaché à ce château dans lequel il avait grandi et passé beaucoup de temps dans son enfance avec sa mère Marie d’Anjou. Le 15 février 1463, il acquit la résidence seigneuriale pour la modique somme de 5500 écus d’or [Guillot, 1977, p. 5]. Pour se faire, il mandata Pierre Bérard, trésorier de France, afin de procéder au contrat de vente avec Hardouin de Maillé. En 1473, la dénomination du château commença à changer. Le Montils-lès-Tours laissa la place au Plessis-du-Parc ou Plessis-lès-Tours [Chevalier, 1983, p. 146].

 

Cartes du Cours de la rivière d’Allier depuis Vichy jusqu’a la Loire. […], 1755, Échelle 1000 Toises, extrait, collection numérique : Fonds régional : Auvergne, Bibliothèque nationale de France, GEFF-17578 (RES).
Crédits : Source gallica.bnf.fr / BnF

 

Alain Salamagne considère que les travaux commencèrent en 1478 et s’achevèrent vers 1480¹ [Salamagne, 2016, p. 45-47]. Une source mentionne la rétribution de cinq maçons spécialistes de la brique venant de l’Artois en 1478-1479 : « A Pierre Regnault, Jehan Adrean, Philippe le Clerc, Jehannet Cordon et Perrotin Lombel, tous maçons, demourans à Bethune – pour les récompenser de la despense qu’ils avoient faicte pour estre venus devers ledit seigneur à Saint-Fleurent par Saumur, et pour eulx en retourner au Plessis du Parc, ou ilec ledit seigneur les envoyé besongner de leur mestier » [Douët d’Arcq Louis, 1865, p. 358]. Dans ce même livre des comptes de la Chambre du roi pour les années 1480-1481, la mention selon laquelle « le viel chasteau fut abatu » – soit le château d’Hardouin de Maillé qui est en partie détruit à l’exception d’une aile dit « viefz mesnage » [Douët d’Arcq Louis, 1865, p. 389] – confirme également cette datation [Salamagne, 2014, p. 175]. 

 

Tracé du mur d’enceinte du château du Plessis.
Crédits : Région Centre-Val de Loire, Inventaire général

 

Le château du Plessis se trouve à l’ouest de la ville de Tours, au milieu d’une vaste étendue rurale entre la Loire, le Cher et le ruau Saint-Anne qui reliait les deux cours d’eau jusqu’en 1790 (actuellement le château se situe à La Riche dans une zone urbaine) [Salamagne, 2014, p. 173]. Le domaine du Plessis se développait à l’intérieur d’un vaste enclos organisé en plusieurs espaces : le château proprement dit de plan quadrangulaire, le Jardin du roi qui jouxtait à l’ouest des fossés, la basse-cour et ses nombreux bâtiments utilitaires qui s’étendaient au nord et le Parc qui entourait la demeure royale, lieu de plaisance et de chasse. L’entrée principale se faisait depuis le nord, par la route de Tours qui menait vers la basse-cour. Puis l’accès au château proprement dit était gardé par un châtelet à deux tours encadrant un passage. Afin d’augmenter la défense, Louis XI fit couronner les murs d’escarpe et de contre-escarpe de grilles et de broches de fer et dota chaque angle de l’enceinte de moineaux. C’est vraisemblablement le canonnier Laurens Volvic, déjà rétribué en 1479 « pour avoir fait faire au Plessis du Parc trois forges a faire une caige de fer » [Douët d’Arcq Louis, 1865, p. 362], qui fut chargé des travaux [Salamagne, 2014, p. 174-175].

 

 

Le corps de bâtiment reconstruit par Louis XI occupait le côté oriental et était relié à une chapelle au nord. Son plan rectangulaire mesurait 39 m de longueur sur 8,80m de largeur [Salamagne, 2014, p. 175]. Conservé à l’état de vestige (rouge foncé Fig.3), il ne reste aujourd’hui que le corps de logis oriental avec sa tour d’escalier en vis polygonale hors-d’œuvre sur sa façade ouest, quelques bâtiments secondaires et son parc disparu pour l’essentiel. Le corps de logis ne mesure plus que 28 m de long [Millat, 2016, p. 22]. L’une des particularités de ce corps de logis est sa polychromie de brique et de pierre. La brique rougeâtre recouvre la majorité du mur tandis que la pierre blanche est réservée aux lucarnes, croisées, piédroits et encadrements de chaque baies ainsi qu’aux chaînages d’angles. L’utilisation d’un matériau provenant des anciens Pays-Pas alors même que le tuffeau était jusque-là la pierre par excellence des demeures royales est liée à la personnalité du roi. Son séjour dans les anciens Pays Bas de 1456 à 1461 – et par conséquent le choix de maçons venant de l’Artois – et les jeux de polychromie possibles avec la brique pourrait notamment expliquer cette décision [Salamagne, 2016, p. 51]. Le corps de logis comporte quatre niveaux : un niveau de caves, surmonté d’un rez-de-chaussée, d’un étage et de combles, dont les façades ont été fortement restaurées.

 

 

La façade sur cour est animée d’une tour d’escalier. Aujourd’hui, le premier niveau est percé seulement par deux portes, le deuxième niveau par quatre fenêtres dont une est obstruée et le dernier niveau présente quatre petites lucarnes. La tour d’escalier à cinq pans s’élève sur quatre niveaux, percés de cinq fenêtres et d’une porte. La tour est flanquée dans sa partie supérieure sud d’une tourelle en encorbellement, donnant accès à une chambre haute surmontant la vis principale. À l’état de ruine au XIXe siècle, le partie supérieure de la tourelle en encorbellement fut restaurée en 1864 [Millat, 2016, p. 26]. Sur le pan nord, trois ouvertures obstruées – encore visibles grâce aux encadrements en pierre – permettaient l’accès à une galerie en bois longeant le corps de logis. Au deuxième niveau du logis, l’accès à la galerie se pratiquait par des portes, aujourd’hui obstruées dans la partie inférieure pour former des fenêtres mais dont subsistent les piédroits en pierre descendant jusqu’au cordon marquant le changement de niveau.  

 

 

Sur la façade est, l’appareil de brique composant les deux niveaux d’étage s’assoit sur un soubassement de pierre qui isole de l’humidité du sol [Salamagne, 2016, p. 53]. Les restaurations de 1864 se sont appuyées sur la Veüe du Chasteau Royal du Plessis Lez Tours, bastie par le Roy Louis onziesme, dessiné du costé du parq datée de 1699 [Louis Boudan (?), 1699, BnF, 5292]. En effet, la façade adopte le même rythme de croisées que sur la vue : trois croisées accolées, suivies à une distance plus éloignée d’une Demi-croisée accostée de deux croisées ; les lucarnes à gâble sont restituées mais rythment toutes les travées alors qu’elles étaient plus espacées au XVIIIe siècle [Millat, 2016, p. 28]. À l’origine, le corps de logis comprenait six pièces. La plus au nord était fermée par un simple mur de refend ménageant une tribune. Le roi avait à l’étage une chambre qui possédait une garde-robe et une salle. Pour Alain Salamagne, cette dernière avait des dimensions modestes – d’une superficie d’un peu moins de 100 m² qui s’apparentait à une salette. Les pièces du rez-de-chaussée étaient probablement destinées à la reine. Le corps-de-logis avait une capacité résidentielle limitée avec au total quatre chambres et leur garde-robe réparties sur deux niveaux [Salamagne, 2014, p. 175]. De même que le choix d’un appareil en brique perçu comme austère, les dimensions modestes des pièces correspondaient à la personnalité du roi qui se trouvait mieux logé dans les « petites maisons », des hôtels et souvent même de simples maisons bourgeoises [Salamagne, 2016, p. 51]. 

 

Veüe de l’entrée du chasteau du Plessis lez Tours, avec la chapelle St Jean, Louis Boudan, XVIIe siècle, aquarelle, 33 x 29 cm, Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, collection Gaignières, 5293.
Crédits : Source gallica.bnf.fr / BnF

 

Dès 1470, les livres de comptes mentionnent la chapelle royale Saint-Jean. Il s’agissait de la chapelle antérieure appartenant au château d’Hardouin de Maillé. La construction semble être entamée en 1477 et achevée en 1478-1480. En 1478 ou début de 1479, le peintre Jean Bourdichon décorait le tabernacle de la statue de la Vierge. Située à l’angle nord-est du corps de logis, la chapelle était dotée d’une Nef unique d’une vingtaine de longueur sur 9,50 m de largeur, terminée par une abside à trois pans. Sur son mur gouttereau est s’ouvrait l’oratoire royal dotée d’une cheminée [Salamagne, 2014, p. 176-177]. Depuis sa chambre située à l’étage du corps de logis, le roi pouvait rejoindre la chapelle par la galerie de bois appuyée contre la façade de l’escalier, puis atteindre son oratoire. Dans le jardin du roi se trouvait le logis du Bourbon qui devait son nom à Pierre de Beaujeu, duc de Bourbon (1438-1503), époux d’Anne de Beaujeu, fille de Louis XI. Qualifié de « donjon » (sens de logis résidentiel), le logis était accessible depuis la basse-cour au nord par un pont franchissant les douves. Cette tour d’habitation de plan quadrangulaire de 15m de côté abritait une chambre et sa garde-robe à côté d’une salle. Le rez-de-chaussée s’élevait sur un cellier et était surmonté d’un étage. Anne et Pierre de Beaujeu devaient chacun disposer d’un logis identique, respectivement au rez-de-chaussée et à l’étage. Dans la basse-cour, un bâtiment parallèle aux douves et au logis de Bourbon porté le nom de « Petit Bourbon » en 1637, sans doute réservé aux serviteurs de l’hôtel de Pierre et Anne de Beaujeu [Salamagne, 2014, p. 177].  

Le château devint ainsi non seulement la résidence du roi, mais également un lieu d’exercice du pouvoir. Il servit à l’occasion de prison royale, particulièrement au début de son règne. De nombreux prisonniers firent de courts séjours dans les prisons du château. Jacques Cœur y fut conduit, en 1452, au moment de son arrestation avant d’être emmené au château de Maillé puis au château de Tours pour l’instruction de son procès [Chalmel, 1818, p. 201]. Ce fut ensuite au tour du cardinal de Balue. Il fut enfermé au château dans une cage en treillis de fer après son arrestation en 1469 [Chalmel, 1818, p. 208]. Le roi y reçut également des ambassades comme en 1476, lorsqu’Alphonse, roi du Portugal, vint solliciter l’aide du roi dans le conflit qui l’opposait à Ferdinand, roi de Castille [Chalmel, 1818, p. 213]. En 1483, sentant sa fin proche, Louis XI fit venir à ses côtés, l’ermite François de Paule, qui fonda l’ordre des Minimes dans l’enceinte du château. Malade et affaibli, c’est dans ce château que le roi s’éteignit le 30 août 1483. Le clergé de Tours et particulièrement les chanoines de Saint-Martin se rendirent jusqu’au château pour récupérer le corps de roi et l’emmener dans l’église Saint-Martin où il fut exposé plusieurs jours avant d’être conduit à Cléry [Chalmel, 1818, p. 216]. Après la mort du roi, les États-généraux furent convoqués au Plessis. Plusieurs assemblées eurent lieu entre le 5 janvier et le 14 mars 1484. Il s’agissait de déterminer qui devait assurer la régence en attendant la majorité du dauphin Charles, futur Charles VIII. 

 

 

Sous Charles VIII (roi de France de 1483 à 1498), de nouveaux travaux furent entrepris.  La galerie en bois précédant la façade du corps de logis oriental fut remplacée vers 1489 par une nouvelle façade de pierre aujourd’hui disparue, mais en partie visible sur la Veüe du chasteau du Plessis lez Tours, dessiné du dedans de la court [Louis Boudan (?), 1699, BnF 5292 ; Salamagne, 2014, p. 175]. Ce dessin de 1699 témoigne d’une galerie rythmée par une série d’arcs en plein-cintres ornés de gâbles reposant sur des colonnes torses. Une colonne torse haute de 1,67 m constitue l’un des rares vestiges de la galerie [Cholodenko, Malenfant, 2015, vol. II, p. 54]. L’étage et les lucarnes, de style classique, encadrées de colonnes supportant un fronton triangulaire suivies de pas de moineau montrent diverses transformations effectuées au cours du XVIe siècle. Charles VIII s’attacha à orner luxueusement le logis [Vrand, 2019, p. 8]. La reine Anne de Bretagne, épouse de Charles VIII puis de Louis XII, séjourna également à plusieurs reprises au château du Plessis, notamment au moment de ses grossesses. Elle y donna naissance à Charles-Orland le 10 octobre 1492. Le jeune dauphin fut baptisé dans la chapelle du château trois jours plus tard. La cérémonie, officiée par François de Paule, réunit la famille royale et la cour. L’enfant avait pour parrains le duc d’Orléans (futur Louis XII) et le duc de Bourbon et pour marraines Anne de Beaujeu, duchesse de Bourbon, la duchesse d’Orléans et la duchesse d’Anjou. Le jeune prince était porté par le prince d’Orange et les instruments nécessaires au baptême, à savoir la salière, le cierge et l’aiguière, avaient été confiés aux ducs de Foix, de Nemours et au comte de Vendôme [Giraudet, 1883, p. 165-166]. C’est également au Plessis que la reine accoucha d’un autre garçon, Charles, qui, grand prématuré, ne vécut que quelques jours. À partir de la fin de l’année 1493, la reine effectua alors plusieurs travaux d’aménagement de son logis au Plessis-lès-Tours, aussi bien dans les chambres de ses demoiselles que dans sa propre chambre, sa garde-robe ou encore sa salle [Vrand, 2019, p. 10]. Depuis la résidence royale, Anne entretint une cour et promeut l’art en faisant appel à des artistes tourangeaux tels que Bourdichon pour enluminer un livre d’Heures ou encore aux Justes pour sculpter le tombeau de ses enfants destiné au Chœur de l’église Saint-Martin. Même si elle n’y résidait pas elle-même, Anne n’hésita pas à envoyer sa fille Claude vivre au Plessis pour la préserver de la peste. La reine écrivit alors une lettre au corps de ville afin que ce dernier prenne les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de la princesse pendant son séjour au Plessis en août 1502 [Renumar, 18 août 1502]. En 1504, les combles de la chapelle, de l’oratoire et des galeries furent restaurés à la suite d’un incendie [Millat, 2016, p. 16].

C’est à partir du règne de Louis XII (1498-1515) que s’amorça le déclin du Plessis. Dès 1500, le roi préférait résider à Blois. Le Plessis fut préservé mais de moins en moins habité, le roi y séjourna encore 42 fois en 1506 [Salamagne, 2014, p. 173]. Il reste cependant le théâtre d’événements importants. Frédéric Ier de Naples, après la perte de son royaume, fit appel à la générosité de Louis XII, et séjourna au château. Il y mourut même en 1504. Un tombeau lui fut érigé dans les Minimes, mais il fut détruit par les Protestants en 1562 [Chalmel, 1818, p. 224]. En 1511, ce sont les ambassadeurs de Maximilien d’Autriche qui se présentèrent [Chalmel, 1818, p. 230], mais l’épisode le plus remarquable est sans aucun doute la convocation des États généraux par Louis XII en 1506. L’assemblée, réunie dans la grande salle, devait se prononcer sur la rupture des fiançailles de Claude de France d’avec Charles Quint pour promettre sa main à François d’Angoulême, cousin du roi et héritier au trône. Les fiançailles du couple y furent annoncées et célébrées le 21 mai. Par la suite, le château du Plessis continua de tenir son rôle de résidence royale, mais de façon plus sporadique. Les entrées royales des souverains restèrent pour eux l’occasion de séjourner quelques jours au château. François d’Alençon, frère d’Henri III, y résida quelque temps lorsqu’il devint duc de Touraine. Il y donna notamment une fête fastueuse en septembre 1580 lorsqu’il reçut une délégation des Pays-Bas qui voulait faire de lui leur souverain. Après avoir signé un traité le 19 septembre 1580, François partit pour son nouveau royaume en février 1582. Il en fut expulsé l’année suivante à la suite d’un coup d’État. Son frère, le roi Henri III se réfugia à Tours en 1589 pour fuir les Ligueurs. Il convia Henri de Navarre, futur Henri IV, pour une entrevue au château du Plessis. La rencontre eut lieu le 30 avril 1589 dans le parc du château et se solda par la réconciliation entre les « deux Henri » et par leur alliance face aux Ligueurs [Guillot, 1977, p. 30-31].   

 


Note de bas de page

¹ « 1463 pour Charles de Grandmaison et Paul Vitry, ou en 1465 pour Sophie Virard. Pierre-Roger Gaussin, Jacques Heers, Jean Favier et Sophie Cassagnes-Brouquet avancent quant à eux la date de 1469, considérant qu’ils auraient été achevés en 1742 ou 1480. Josiane Sartre, reprenant Annie Cospérec, les place après 1474 en s’appuyant sur la mention de la construction de chambres neuves au château des Montils, mais il s’agit du château des comtes de Blois, non pas du Plessis-lez-Tours. François Gébelin, prudemment soulignait que « nous sommes quasi dépourvus de toute indication sur les travaux qu’il y fit faire » » [Salamagne, 2016, p. 45-46].


 

Bibliographie et sources

Chalmel Jean Louis, Tablettes chronologiques de l’histoire civile et ecclésiastiques de Touraine, Tours, Letourmy, 1818.
Chevalier Bernard, Tours ville royale (1356-1520), Chambray, C.L.D., 1983.
Château du Plessis-lès-Tours – Inventaire Général du Patrimoine Culturel (centre-valdeloire.fr).
Cholodenko Natalie, Malenfant Morgane, Inventaire lapidaire du château du Plessis-lès-Tours, mémoire de licence d’Histoire de l’Art, Université François Rabelais, Tours, 2015, 2 vol.
Douët d’Arcq Louis, Comptes de l’Hôtel des rois de France aux XIV-XVe siècles, Paris, 1865.
Giraudet Eugène, Histoire de la ville de Tours, T. I, Tours, 1883.
Guillot Sophie, Le château du Plessis-lès-Tours, Chambray, C.L.D., 1977.
Millat Laura, Le château du Plessis-lès-Tours – Corps de logis principal est (charpente et façades), mémoire de licence d’Histoire de l’Art, Université François Rabelais, Tours, 2016, 1 vol.
Salamagne Alain, « Louis XI et l’architecture de brique et de pierre en Val de Loire » dans Art et société à Tours au début de la Renaissance, Brepols, 2016, p. 41-58.
Salamagne Alain, « Le Plessis et les résidences royales en Touraine à l’avènement de Louis XI » dans Bulletin de la Société archéologique de Touraine, T. 60, 2014, p. 173-184.
Vrand Caroline, « Le lit royal à l’aube de la Renaissance », dans Situ, 40, 2019. 


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